Depuis ce lundi, des permis de chasse à l’écureuil pour le territoire du Québec sont illégalement en vente surle darkweb.

« Le darkweb c’est sous l’emprise des russes et de Trump, il faut faire attention à ce qui est en vente sur ces sites. Est-ce qu’ils veulent de la peau d’écureuils pour construire un mur entre le Mexique et les États-Unis? » – Pierre Legland, garde-chasse au Ministère de la Faune du Québec

Les permis en vente font état d’un quota que les écureuils peuvent être chassés tous les jours de la semaine se terminant en « i » et revendus à une entreprise québécoises dont le Journal va taire le nom et qui ceux-ci exportent les glands (testicules) d’écureuils en Asie. Là-bas les glands sont utlisés pour la fabrication de cocktails à des fins aphrodisiaques.

Des individus fortunés sont près à payer jusqu’à 5 000$ le litre pour de tels cocktails au Japon, en Chine et au Koweit.

« Les écureuils du Québec auraient une substance dans leurs testicules que les autres écureuils de la planète n’ont pas. C’est ce que des collègues biologistes m’ont dit l’an passée lors d’un congrès à Phuket en Thailande » – Illatu Lyreksion, biologiste à l’Université du Québec à Laval

Du côté du bureau du premier ministre Philippe Couillard pas moyen d’avoir un retour d’appel à savoir si le gouvernement pensait légiférer contre la revente de gland d’écureuil ou les faux sites d’émission de permis de chasse à l’écureuil.

Un conseiller au Centre des Services Partagés du Québec, Elvis Ssonglan conseiller en informatique, nous a fait cette déclaration:

« Le gouvernement songe à bloquer d’autres sites Internet comme il a fait pour les sites de loteries en ligne. Un projet de bloquer les sites fournissant de faux permis de chasse est en branle an CSPQ. Un budget de 1,3 millions a été alloué à ce projet en pré-étude. » – Elvis Ssongln, conseiller en informatique au Centre des Services Partagés du Québec