La semaine dernière, Joe Biden décida qu’il avait besoin d’une pause bien méritée de la politique et de la Maison Blanche. Il avait entendu parler d’une île tropicale secrète où les politiciens allaient pour se détendre, loin des caméras et des débats enflammés. L’île portait le nom de « Politician’s Paradise », un endroit où les hommes politiques pouvaient se relâcher sans craindre les regards indiscrets.

Joe prit un vol spécial, un Air Force One déguisé en avion de tourisme, pour arriver à l’île. À son arrivée, il fut accueilli par des dauphins portant des cravates qui dansaient joyeusement à la surface de l’eau. « Bienvenue, M. Biden ! Nous espérons que vous passerez un moment relaxant ici », dit l’un des dauphins en s’inclinant gracieusement.

L’île était un spectacle pour les yeux. Des palmiers portaient des pancartes politiques de campagnes passées, et même les coquillages semblaient discuter de projets de loi. Joe se dirigea vers son bungalow présidentiel, qui était orné de drapeaux étoilés et de guirlandes de confettis en forme de ballots de foin.

Le premier jour, Joe décida de participer à un tournoi de beach-volley avec d’autres politiciens en vacances. Il se retrouva face à un adversaire redoutable, un ancien sénateur qui avait une frappe de volley aussi redoutable que ses discours. Joe, cependant, avait un atout dans sa manche : sa capacité à raconter des blagues spontanées. À chaque coup, il lançait une blague qui déstabilisait ses adversaires. « Pourquoi les politiciens sont-ils mauvais au volleyball ? Parce qu’ils sont trop occupés à retourner leur veste ! », s’exclama-t-il en faisant un smash impressionnant.

La soirée tomba, et l’île s’illumina de lumières festives. Joe fut invité à une fête sur la plage où les cocktails portaient des noms de lois obsolètes. Il goûta au « Décret de la Délicatesse » et au « Code de Conduite Cosmopolite ». Enthousiasmé par l’ambiance, il décida de montrer ses talents de danse. Joe Biden sur la piste de danse était une vision à ne pas manquer. Il faisait des pas de danse dignes d’un président, avec des mouvements élégants et un enthousiasme contagieux. « Je suis peut-être vieux, mais je peux encore secouer la politique… et la piste de danse ! », plaisanta-t-il.

Le lendemain, Joe décida de participer à une course de canoë, une épreuve où les politiciens devaient naviguer à travers un labyrinthe de promesses électorales. Joe avait transformé son canoë en un véritable bureau ovale flottant, avec des documents et des stylos flottant autour de lui. « On m’avait dit que la politique était pleine d’obstacles, mais je ne pensais pas que cela inclurait des bouées électorales », blagua-t-il en passant devant un adversaire échoué sur un banc de sable.

Le jour suivant, l’île organisait un concours de talents, où Joe décida de faire une démonstration de ses talents de contorsionniste politique. Il se plia dans tous les sens pour éviter des questions difficiles et se faufila à travers des énoncés contradictoires avec une agilité impressionnante. « C’est ainsi qu’on fait de la politique, les amis ! On tourne, on se plie, et parfois, on se tortille un peu », plaisanta-t-il, provoquant des rires dans l’auditoire.

La dernière nuit sur l’île, Joe fut invité à être le maître de cérémonie d’un spectacle de comédie. Il monta sur scène, arbora son sourire caractéristique et commença à raconter des anecdotes de sa carrière politique. « Vous savez, être président, c’est comme être sur un manège. Vous montez, vous descendez, et parfois, vous avez l’impression que tout tourne en rond », dit-il en provoquant des éclats de rire dans la salle.

La semaine passa rapidement, et il était temps pour Joe de retourner dans l’arène politique. Joe Biden a quitté Politician’s Paradise avec un bronzage tropical, une nouvelle collection de chemises hawaïennes et une perspective rafraîchie sur la politique. « C’était un séjour formidable, vraiment formidable. Mais maintenant, c’est l’heure de retourner dans le bureau ovale », déclara-t-il avec un clin d’œil en montant à bord de son avion de retour.

Et ainsi se termina le chapitre exotique et comique des vacances de Joe Biden sur l’île secrète de Politician’s Paradise, une parenthèse de légèreté dans la vie de cet homme politique.