Une récente étude de la chaire environnementale de l’Université du Québec à St-Jean-Port-Joli fait état que les éoliennes sont responsables de la présente canicule au Québec.

Pendant qu’à Cap-Chat, capitale québécoise des éoliennes, il fera 24 degrés ce lundi, plus à l’Ouest au Québec, il fera 35 degrés.

« Les centaines d’éoliennes placées en Gaspésie empêchent la chaleur de gagner l’océan atlantique et pousse celle-ci vers l’Ouest. Ainsi, s’il y a un front chaud qui se dirige vers l’Est, celui-ci est repoussée par les éoliennes et le fait stagner sur le sud du Québec. Aucun doute que les éoliennes sont les grandes responsables des canicules au Québec ces 10 dernières années. » –  David Deschamps-Després, écologiste à la chaire environnementale de l’Université du Québec à St-Jean-Port-Joli.

L’étude fait aussi état, que cet empêchement de la chaleur de gagner l’Est du Québec fait augmenter la formation de iceberg dans l’océan atlantique et le risque de voir des navires les percuter.

« Au début on croyait que c’était la faute au gouvernement américain de repousser tous ces immigrants fièvreux à la frontière canadienne puis après avoir parlé à des collègues du Ministère de la Santé, très peu d’immigrants avaient la fièvre, sauf certain qui ont présentement la fière de la Coupe du Monde avec l’événement planétaire qui se tient présentement en Russie. On s’est alors tourné vers les éoliennes de Cap-Chat pour y faire d’étonnantes découvertes » – Églandine Marchand-Labine, écologiste et co-auteure de l’étude sur les causes de canicule au Québec

Madame Marchand-Labine explique également que l’air chaud se déplace plus rapidement que l’air froid. Donc en arrivant près de la masse d’air créé par le fonctionnement des éoliennes du parc d’éoliennes de Cap-chat, cet air chaud rebrousse chemin vers le sud de la province et si elle se déplaçait à la même vitesse que les pâles d’éoliennes tournent, celle-ci stagne sur le Québec comme c’est le cas présentement.

 

Dans les années 90, les grandes canicules se produisaient à cause des nombreux interviews de Robert-Guy Scully. Ce journaliste gesticule si rapidement des mains qu’il faisait déplacer des masses d’air incroyables.

Au 19e sièce les grands responsables étaient les nombreux moulins installés ici et là sur le territoire québécois.

Puis au 20e sièce, vers les années 15 c’était les voitures à manivelles qui causaient cette stagnation d’air chaud.

Ensuite apparût le moteur à hélices qui fut un grand responsable des déplacements d’air chaud au travers la province de Québec. Dans certaines périodes l’Abitibi a même subit une grande canicule en juillet 1923.

L’aéroglisseur floridien apparût dans les années 40 et fût un grand responsable des déplacements d’air chaud vers le Nord de l’Amérique ce qui a entraîner de nombreuses canicules le long de la côte Est américaine et jusqu’à Trois-Rivières. Tous se rappelle de la grande canicule au Québec en 1943.

Pour madame Marchand-Labine et monsieur Deschamps-Deprés il ne fait aucun doute que la solution afin de « climatiser » le Québec est de faire tourner les éoliennes dans l’autre sens afin d’en pousser l’air vers l’océan atlantique et non vers l’Ontario comme c’est le cas présentement.