Depuis le début de la pandémie de coronavirus, le prix de l’ail a monté en flèche au Québec.

Le grand responsable de cette montée serait le port du masque obligatoire dans les lieux publics intérieurs.

Le Journal ignore si des gens comme Horacio Arruda ont des parts dans des entreprises de production d’ail, mais il est clair que ce dernier est le grand responsable de cette flambée du prix de l’ail, compte tenu qu’il est celui qui dicte aux québécois l’obligation du port du masque.

Comme le masque filtre l’odeur de l’ail, les québécois ont profité de la pandémie pour augmenter leur consommation.

De 200 g par individu annuellement, la quantité consommée est passée à 900 g par individu depuis le début de la pandémie en mars 2020. La demande est très forte actuellement au Québec.

Le Journal a rencontré Yvan Delye, producteur maraîcher de Saint-Alphonse-du-Grand-Portneuf et voici ce qu’il a eu à raconter sur la montée du prix de l’ail au Québec.

C’était peu consommée au Québec. C’était un aliment que beaucoup appréciait mais dont il n’aimait pas l’odeur laissée dans l’haleine paèrs sa consommation. Voilà que l’obligation du port du masque change tout. Non seulement le masque protège de la COVID-19, il protège aussi de la mauvaise haleine de celui qui le porte. Le télétravail aide beaucoup aussi en ce sens. Nous produisons à notre ferme 46 tonnes d’ail par année, cette année on a de la demande our 125 tonnes. Du jamais vu

Les producteurs d’ail du Québec demeurent inquiets du taux de vaccination contre la COVID-19 au Québec. Car si ce dernier venait qu’à satisfaire les autorités sanitaires, le port du masque ne serait plus obligatoire et la consommation d’ail baisserait radicalement.

Comme nous l’adit monsieur Delye, non ce ne sont pas les Ricardo ou Bob le chef qui ont contribué à la hausse de consommation de l’ail dans la belle province.