Selon le climatologue québécois Adélard Bellechasse, d’ici 10 ans, les Rocheuses auront disparues du paysage Nord-Américain.

Prenant pour compte son modèle mathématique de montée de l’océan pacifique jumelée au réchauffement climatologique canadien ainsi que le clitoris de sa femme, le bouillant climatologue abitibien de 79 ans prédit la fin des Rocheuses.

« Il est clair pour moi que d’ici 10 ans, les Rocheuses auront disparu du paysage canadien. L’océan pacifique aura tellement monté à cause de la fonte des glaces aux large de l’Alaska. J’en veux à Michel Rivard et sa balade du phoque en Alaska. C’est selon moi une grande influence sur le climat là-bas » – Adélard Bellechasse, climatologue

Le Journal a voulu en savoir davantage sur la théorie de sa prédiction du climat jumelé avec le clitoris de sa femme.

« C’est simple bon sens. Quand y fait chaud, elle a le clitoris tout gonflée. Quand y fait frette y disparait. Ce phénomène est proportionnellement opposée à l’effet que le réchauffement climatique aura sur les Rocheuses. C’est très simple à comprendre.  » – Adélard Bellechasse, climatologue

Monsieur Bellechasse en rajoute en mentionnant qu’il pourait aussi presque prédire la météo pôur la semaine à venir selon l’humeur de sa femme Jacqueline.

« Si elle me pète une crise le dimanche, c’est clair que le mardi y a des averses. Par contre si la même journée est fine fine fine, y fait chaud en maudit jusqu’au mardi. Avec les années ça changer un peu, avant quand elle était fine fine fine le dimanche, il faisait chaud jusqu’au jeudi. Si son spaghetti colle le lundi, soyez assurez d’avoir des averses le jeudi.  Quand sa soupe au poulet du mardi manque de sel, y fait beau à chaque jeudi. J’ai tout un relevé dans un cahier ici et je peux prédire la météo avec une précision que je dirais frôlant les 90%. Météomédia peut aller se rhabiller. De toute façon ils disent n’importe quoi. On dirait qu’ils utilisent des dés pour prédire la météo. Moi mon système est efficace. C’est à ça que ça sert être intelligent et marié depuis 61 ans.  » – Adélard Bellechasse, climatologue