Le Journal a appris que la légalisation du pot par le gouvernement fédéral pourrait freiner l’expansion de la ville de Brossard.

Après qu’un journal spécialisé dans les nouvelles à sensation nous en a informé dans son édition du samedi, des sources anonymes ont révélé au Journal que la légalisation du pot par le gouvernement Trudeau pourrait freiner l’expansion d’une grande ville de la Rive-Sud.

Comme la pègre asiatique contrôlerait la revente du cannabis au Québec, il y a lieu de s’inquiéter de l’expansion de la ville de Brossard au détriment de l’Ouest de Montréal.

En effet, si la légalisation, prône la revente de cannabis cultivé par le gouvernement fédéral, il y a de fortes chances que ce dernier cultive le pot destiné à la population québécoise, sur le territoire majeur de sa future clientèle, soit l’île de Montréal. Comme à l’Est il y a peu de place, il y a des terrains vagues dans l’Ouest qui pourrait servir à cette culture.

« Comme l’aéroport de Dorval est proche de ces champs de culture, il y a fort à parier que le gouvernement fédéral voudra vendre les surplus dans les autres provinces et les acheminer par avion. » – Vincent Patkouil, urbaniste pour la société YAUNPRO

Monsieur Patkouil avance même que le train de la Caisse de Dépôt et de Placement (CDPQ), pourrait ne pas voir le jour si l’expansion de Brossard était freinée par la légalisation du pot l’an prochain par le gouvernement fédéral.

« Il va s’en dire que si Brossard n’est plus le berceau de la mafia asiatique, il y a de fortes chances, que celle-ci s’en retourne en Asie avec ces 12 000 membres et que c’est Montéal qui entre en expansion urbaine et que Brossard régresse à ce niveau. Le REM ne sera alors plus nécessaire, même les travaux du nouveau Pont Champlain pourraient être stoppés. Sans compter les déficits records que subira la ville de Brossard et tous ses maisons qui seront vides et liquidées à bas prix. » – Vincent Patkouil, urbaniste pour la société YAUNPRO