TWA Nouvelles a dévoilé cette semaine que l’ancien premier ministre du Québec Jean Charest et son ami proche Marc Bibeau faisaient l’objet d’une enquête de la part de l’UPAC (Unité Permanente Anti Corruption) créé en février 2011 par le gouvernement du Québec.

Le journaliste François Bugingo savait que l’UPAC enquêtait sur Jean Charest et son ami Marc Bibeau et ce depuis 2004, soit 7 ans avant la création de l’unité.

« C’est simple, quand l’UPAC a été créé en 2011 par le gouvernement, les géniteurs de l’unité savaient déjà depuis 7 ans que Jean Charest était un innocent. Quant à Marc Bibeau je ne le sais pas, je ne l’ai jamais rencontré sauf une fois à un feu rouge à bord de ma Mercedes et je l’ai trouvé pas mal innoncent de ne pas me saluer, je suis pourtant connu dans ce bas monde. » – François Bugingo

L’ex-premier ministre Jean Charest a donné raison à François Bugingo hier en clamant son innocence via son avocat, c’était moins clair du côté de l’hommes d’affaires Marc Bibeau.

Donc Charest et Bugingo sont formels, il est innocent.

Mais le reportage de TWA Nouvelles semble plutôt aller dans la voie que l’UPAC en sait beaucoup sur Charest et Bibeau, numéros bancaires, carte de crédit, numéro de passeport, on ne sait pas non plus s’il y a des enregistrements électroniques.

«Bien sûr qu’ils ont des enregistrement électroniques, des tonnes, voyons c’est l’UPAC, ils ont la technologie à leur disposition. J’ai su que quelques enquêteurs à l’UPAC raffolaient des Têtes à claques et qu’ils écoutaients certains épisodes via clés USB, donc des enregistrements électroniques, ils en ont. » – Fançois Bugingo

Bugingo nous a informé que Gabriel Nadeau-Dubois devrait allé prendre le thé cette semaine dans un Starbucks du Plateau. On a pas su avec qui, Bugingo a juste mentionné qu’on pourrait bientôt en apprendre davantage sur l’innocence.