L’Association Mondial des Fournisseurs de Drogues (AMFD) a classé la SQDC (Société Québécoise de Cannabis) comme étant le pire pusher au monde.

Dans son dernier bulletin, édition du 3 novembre, l’organisme basé à Amsterdam a établit selon 21 critères que la SQDC était vraiment médiocre.

La SQDC arrive bonne dernière à ce classement, loin derrière Jeff « Moton » Beaudoin-Lamothe, un petit pusher pas fiable de l’arrondissement Hochelaga-Maisonneuve à Montréal et de Didier Patpoff, selon nos sources, étant le dealer le moins fiable du quartier St-Jean-Baptiste à Québec.

Parmi les 10 meilleurs pushers, on retrouve cinq magasins de Denver au Colorado, deux individus néerlandais, dans les plus grands pushers au Pays-Bas selon nos sources, un narco-traficant du Mexique,deux colombiens et un brésilien qui serait le king de Sao Paulo.

Pour être éligible à l’évaluation, il faut que tout organisme ou individu évalué pour le classement soit un revendeur de drogues, qu’importe laquelle et ce même que ce soit légal ou illégal.

La SQDC obtient la note de 22%. Le Joirnal a contacté l’AMFD et c’est sur l’offre de stock que la société d’État perd beaucoup de point et aussi sur le fait qu’il n’est pas possible d’essayer des produits sur place ou d’obtenir des échantillons gratuits. La SQDC perd aussi beaucoup de points sur l’impossibilité d’obtenir des rabais de quantité et aucune possibilité d’obtenir des points bonis. La SQDC a également cumulé aucun point sur l’offre de ses produits qui se limite qu’au cannabis. Finalement le monopole québécois n’a obtenu aucun point sur la livraison, soit sur le fait qu’elle ne livre pas elle-même ses produits et du fait qu’elle n’a aucune compétition légale sur son territoire.

Dans l’évaluation la SQDC a aussi cumulé aucun point au fait que la marchandise achetée et transporté soit règlementer par une limite.

« La plupart des dealers de rues vont offrir des échantillons pour essayer la marchandise, on ne retrouve pas ça aux succursales de la SQDC. Ça leur a fait très mal au classement. Aussi elle n’offre pas de toilettes à ses clients en succursale, un point négatif pour eux. » -Hans Sankriss, évaluateur à l’AMFD