L’arrivée de nombreuses jeunes et belles migrantes depuis quelques semaines à Montréal fait baisser les prix de la prostitution à Montréal. Le crime organisé somme le gouvernement d’agir rapidement.
« Avant, mes filles demendaient sur la rue, 50$ pour une pipe dans un char. Là c’est rendu que dans le coin du stade, tout le monde le sait, les jeunes migrantes font ça pour 20$. Mes filles veulent pas faire ça à ce prix là, alors elles sont pas endurables, elles ont besoin de ces vitamines masculines et presque de façon quotidienne. » – Bill dit La Baguette Faucher, pimp Est de Montréal
Le Journal a appris que les jeunes migrantes sont très actives, plus particulièrement de jour. De soir, elles font la compétition très féroce.
Il n’y aurait pas de mineurs que des jeunes femmes d’âge adultes de 18 à 27 ans.
Des agences auraient tenté de les recruter mais celles-ci refusent de peur de nuire à leur demande d’asile.
« Ça se sait tellement que les prix baissent, qu’une autobus de personnes âgés est arrivée hier de Chicoutimi, et les migrantes ont dû passer tout le lot de passagers en deux soirs dans un hôtel de l’Est de Montréal pour environ 80$ de l’heure. À ce prix là mes filles peuvent pas rivaliser avec leur 160$ de l’heure. Les clients nous textent et nous appellent et demandent le prix et nous refusent. Toute l’industrie de la prositution va tomber à Montréal. C’est près de 400 millions en retombées économiques pour la ville » – Jason Tuparll, propriétaire d’une petite agence d’escortes à Montréal
Le Journal a vérifier les chiffres et selon un expert qui n’a pas voulu être identifié, la prostitution à Montréal, qui comprend salon de massage, filles sur la rue et agences d’escortes génereraient des revenus de près de 6,9 milliards annuellement, des retombées économiques incroyables pour Montréal.
En réaction aux pressions du crime organisé, des tentes ont été aménagées en bordure de la frontière à St-Bernard-de-Lacolle et des centres d’accueil temporaires ont été aménagés sur la Rive-Sud de Montréal.
Selon un propriétaire d’agence d’escortes de la Rive-Sud, la clientèle a déjà commencé à diminuer et plusieurs exigent des prix plus bas. C’est le ravage des jeunes migrantes.
« Faut que le gouvernement fasse attention parce que si les prix baissent trop sur la Rive-Sud, les clients à Montréal sont pas caves, ils vont aller se faire pomper sur la Rive-Sud. Ça déjà commencé à baisser depuis jeudi soir, sur Taschereau. » – Pea Niss-Flask, propriétaire d’une agence d’escortes sur la Rive-Sud de Montréal
Soyez le premier à commenter on "Les migrantes font baisser le prix de la prostitution à Montréal, le crime organisé somme le gouvernement d’agir"