Le chef Giovanni Apollo est formel, il a changé de nom rendue au Canada, immigrant d’Italie dans sa jeunesse.

« Quand j’étais dans mon Italie natale, mes ancêtres étaient si beaux que tous les considéraient comme des Apollon, le dieu grec. Or, je suis italien, tu ne peux pas être italien et prétendre être un dieu grec. J’ai donc changé mon nom en arrivant au Canada. Donc je l’avoue, j’ai menti sur mon nom et quant à y être sur mon prénom, qui est Giovanni Claudio, Jean-Claude en Français. J’ai laissé tomber le Claudio. C’est tout. » – Giovanni Claudio Apollon, chef

Quant à sa cuisine, le chef Giovanni avoue que personne n’a été empoisonné jusqu’ici, donc qu’il n’a rien à se reprocher.

« Si quelqu’un a été empoisonné par ma cuisine, qu’il se lève et me lance le premier chaudron » – Giovanni Claudio Apollon, chef

Il en demeure que la passe du gnou pour du cheval nous est enfin expliqué par le chef.

« Ha bon sens, l’animal arrivait d’Afrique et un gnou c’est de la famille des bovidés alors qu’un cheval est de la famille des équidés. C’est comme demander c’est quoi la différence entre du macaroni au fromage et du fromage au macaroni. Pîs c’était au début pour une recette où des invités auraient été pompettes mais finalement ça n’a jamais eu lieu. » – Giovanni Apollon, chef

Quant à tous ces livres de recettes, l’auteur assure qu’elles sont authentiques et bonnes.

« Allez donc demander à Ricardo s’il n’a jamais fait de réingénirie inversée avec des plats de grand chef » – Giovanni Claudio Apollon, chef

En terminant le chef qu’on n’appellera plus Giovanni Apollo, est furieux après la journaliste de La Presse Isabelle Hachey qui a sorti l’histoire de son faux passé.

« Je ne vous dirai jamais que si je la voyais en personne que je ferais du steak Hachey avec elle » – Giovanni Claudio Apollon, chef

Le chef avoue également qu’il a mis les pieds plus d’une fois dans des bars de danseuses pas juste pour vérifier la qualité de la nourriture.